La science a-t-elle tué Dieu ?

Trois idées persuasives pour raviver votre foi
Meilleur livre de l’année 2020 en théologie pour l’Asie

À propos de La science a-t-elle tué Dieu ?

De temps en temps, nous lisons un livre qui nous absorbe et sommes transformés dans notre relation avec Dieu. La science a-t-elle tué Dieu ? est un tel livre. Cette œuvre marquante, chaleureuse, et profondément engageante nous fait découvrir Dieu progressivement à partir des merveilles de l’univers jusqu’à l’intimité avec Dieu. Vous découvrirez non seulement pourquoi notre foi chrétienne a tout à gagner d’un examen minutieux via trois branches clés du raisonnement humain, à commencer par la science, mais vous découvrirez également quelque chose de profond et de véridique en vous. Cela élargira votre esprit et ouvrira votre cœur à Dieu afin d’y acquérir la paix et l’unité d’esprit qui ne peuvent venir que d’une confiance totale en lui.

Les Trois idées puissantes qui raviveront votre foi, sous-titrant ce livre, sont les suivantes :

  • Aujourd’hui, plus que jamais, la science nous fait découvrir Dieu.   
  • Nous pouvons faire l’expérience de la présence de Dieu dans nos cœurs, une fois que nous avons appris à le faire.  
  • Les voies de Dieu ont tout leur sens, malgré la souffrance que nous voyons dans le monde.
Extrait de la Partie 1, Chapitre 8: Science et religion – Duo ou duel?

La science a magnifiquement converti de nombreux points d’interrogation en points d’exclamation, mais elle n’a jamais répondu quoi que ce soit au pourquoi de la nature. Et pourtant, pour saisir le grand tout et compléter l’immense casse-tête, on ne peut éviter à jamais le grand « pourquoi ». Ne s’agit-il pas, tout compte fait, de la question la plus importante, soit celle de savoir pourquoi l’univers existe?

Peut-être que, pour un scientifique, Dieu sera-t-il toujours davantage un défi qu’une réponse. Or, Dieu est à la religion ce que l’électron est à la science : nous ne pouvons pas le voir, mais nous savons qu’il est là en raison de son effet.

Le fait que nous ne pouvons accéder à la connaissance scientifique que par la voie limitée de l’observation indique que même les hypothèses scientifiques dépendent souvent de croyances subjectives et ne représentent donc pas nécessairement le sommet triomphant de l’humanité. La totalité de ce qui est réel dépasse forcément la science. Jean Hamburger, spécialiste médical et écrivain, a fait remarquer : « L’homme a besoin de l’absolu; son appétit pour la transcendance est au moins aussi violente que son vœu d’obéissance aux règles de la raison. »

Nous ressentons un attrait envers de nouvelles frontières, de nouveaux mondes et de nouvelles perspectives pour les mêmes raisons que nous sommes fascinés par l’éternité et l’infinité. Il est vrai que les scientifiques ne peuvent pas se permettre d’être distraits, dans leur recherche de la vérité, par leurs propres points de vue personnels qui sont, et doivent être, mis de côté pendant la recherche proprement dite. Mais, séparons la recherche elle-même des réflexions sur les données découvertes. Ces réflexions nous permettent de relier les points et d’entrevoir l’ensemble qui surgit. En tant qu’êtres pensants, nous ne pouvons pas interdire indéfiniment à notre intuition de participer à nos activités mentales. Autrement, nous risquerions de nous renfermer dans les horizons de notre savoir, tout en ne retenant qu’une partie du tableau d’ensemble. La foi, réhabilitée, peut aider à élargir ces horizons.

« Visez le ciel, disait C.S. Lewis, et vous y incorporerez la terre en sus. Visez la terre et vous n’obtiendrez ni l’un ni l’autre. » Peut-être se situait dans cette ligne de pensée l’écriteau suspendu à la porte du bureau d’Einstein à Princeton, et qui porte à réflexion : « Ce n’est pas tout ce qui compte qui peut être compté, et ce n’est pas tout ce qui peut être compté qui compte. »

La réalisation scientifique très récente voulant que la nature soit multidimensionnelle devrait éveiller notre sens intuitif au fait que, si nous espérons pouvoir apprécier l’immensité de la réalité (comme l’existence de Dieu, par exemple), nous devrons être ouverts aux réalités qui dépassent la physique expérimentale et même la physique théorique, qui, demain, devront toutes deux réviser leurs théories et tout recommencer.


Extrait de la partie 2, Chapitre 13: La paix de Dieu

Le sommet du dialogue du Christ avec la samaritaine (Jean 4 :4-26) se situe au point où elle découvrit que Dieu n’est pas au-delà des étoiles, mais bien à l’intérieur d’elle-même comme une fontaine d’eau claire jaillissant d’une source éternelle. Elle réalise alors qu’elle désire une communion d’esprit à Esprit par l’intermédiaire de la liberté inviolable enfouie au plus profond de son cœur.

Dieu réside dans cette pure intériorité. Ce qui nous sépare de lui, et l’un de l’autre, c’est ce qui est extérieur à nous-mêmes. Nous devons donc être entièrement dépouillés de nos idoles intellectuelles pour pouvoir accéder à la vraie pureté de cœur qu’il demande de nous. Or, cela exige un saut initial, et qui n’est pas mince, dans la foi. Thomas Merton a déjà dit à ce sujet :

Si je pénètre dans les profondeurs de ma propre existence et de ma réalité actuelle, le « moi » indéfinissable qui est moi-même dans ses racines les plus profondes, alors au moyen de ce centre profond je passe à l’infini « Je suis », qui est le nom véritable du Tout-Puissant. 1

Le centre le plus intime de notre cœur s’ouvre comme un « portail », pour ainsi dire, dans le « silence et la subjectivité » de Dieu, là où nous sommes attendus. Ce centre intime se situe au fond de notre néant, un centre nullement atteint par l’illusion, et aucunement à la disposition de nos caprices parce qu’il n’appartient qu’à Dieu seul; il constitue sa plus grande gloire. 2 Si nous pouvions nous voir ainsi les uns les autres, toute guerre, toute haine, toute cruauté et toute cupidité cesseraient immédiatement. Aucun progrès spirituel ne se réalise vers quelque chose d’extérieur. Les percées se font vers l’intérieur.

Si nous cherchons encore la vérité aujourd’hui, c’est parce que même si nous pensons croire en Dieu nous ne croyons pas Dieu. Mais cela ne fait-il pas de nous un peu des « chrétiens athées »? Et pourtant, si nous commençons même à le chercher, si nous commençons à faire ce déplacement de toute importance de la tête vers le cœur, de l’Ancien Testament vers le Nouveau, de passer du simple évitement de la négativité à nous laisser attirer vers la lumière positive, ne serait-ce pas tout ça un signe certain que nous l’avons déjà trouvé? À quoi servent une tête remplie de connaissances et un cœur vide, demandait Thomas à Kempis, moine allemand du quinzième siècle et auteur bien connu de L’Imitation de Jésus-Christ. Quelle utilité serait pour moi toute la connaissance du monde, se demandait-il, si, à la suite de ce court laps de temps passé sur terre, je serai habitant éternel d’un tout autre lieu? Le mathématicien et philosophe anglais Alfred North Whitehead (1861-1947) formulait ainsi l’expérience de Dieu : à part Dieu toute activité est simplement une bouffée d’insignifiance passagère.

Tout cela est si vrai et simple qu’on ne ferait que compliquer la chose en voulant s’étendre trop sur le sujet. Personne ne peut enrichir la pureté et la simplicité au moyen d’ajouts.  Voilà pourquoi Jésus a dit que le message de Dieu n’était révélé ni aux sages ni aux savants, mais aux « petits enfants ». Eux, ils le comprennent.

Nous compliquons trop les choses. Pour reprendre un mot de Merton, Dieu ne peut être entendu que de l’âme qui se tient devant lui totalement aride, ignorante, vide, nue, détachée de tous ses sens, yeux fermés, offerte à son gracieux génie qui ne peut jamais fourvoyer le cœur, dans le plus grand silence et la plénitude divine du moment présent, dans  la conscience absolue que Dieu est présent. C’est la lumière étincelante de la sagesse, celle que seul peut comprendre le cœur profond et silencieux. C’est cette lumière qui nous échappe le moment que nous tentons de la retenir contre la pâle lueur de notre faible raisonnement. Cette lumière ne se révèle jamais à la logique de l’intelligence, seulement au cœur qui donne son consentement dans un Amen total, un abandon complet qui fait de lui une simple aptitude au divin, mais sans perdre pour autant son individualité ou ses réalités, ni quoi que ce soit de sa tendresse naturelle.

1 Thomas Merton, Thoughts in Solitude, 72.

2 Emprunt et paraphrase provenant de Thomas Merton, cité dans Un torrent de silence de Placide Gaboury (Boucherville, Québec : Éditions de Mortagne, 1985), 281.


Extrait de la partie 3, Chapitre 22: Une histoire d’amour

Si vous me demandiez ce qui est à l’origine du big bang (ou même du multivers, s’il y en a un), je vous répondrais, de concert avec Zundel, que la création doit être en quelque sorte, ne serait-ce qu’indirectement, l’expression d’un « débordement » du pur amour qu’est Dieu, de son désir de voir des êtres partager cet amour centrifuge.

L’amour serait ainsi à la fois notre origine et notre but. Mais comment l’amour peut-il créer la matière? « L’amour peut tout faire par le Christ. » (Philippiens 4, 13) Dans ce sens, ce n’est pas en scrutant les frontières de l’univers qu’on y trouvera sa source première et ultime, mais bien en scrutant nos cœurs.  L’infinité n’est pas « là-bas », elle est ici, maintenant, dans ton cœur.

La création est donc une histoire d’amour. Mais comme toute histoire d’amour suppose la participation de deux êtres, le couronnement de la création dépend de notre plein consentement, un plein engagement dans un choix libre. Car le oui de Dieu sollicite notre oui, comme dans une demande en mariage. Nous, les humains, sommes en suspens entre deux univers de Dieu : le monde matériel duquel dépend notre vie biologique, puis le monde spirituel qui fait de nous des êtres spirituels autant que biologiques.

Pour que nous puissions même acquérir une capacité de répondre à Dieu par un oui dans un amour réciproque, il fallait que la création puisse éventuellement produire, comme elle l’a fait par l’évolution, un être pensant librement comme nous. Autrement dit, nous en sommes arrivés à un point de rencontre entre la matière et l’esprit dans une création qui tend vers l’esprit, et ce n’est que par l’entremise de l’esprit que nous pouvons rencontrer Dieu. Et lorsque nous le faisons, c’est alors que l’éveil se produit. Mais puisque que toute notre perspective du monde et même toute notre destinée dépendent de notre choix de s’attacher soit à la matière soit à l’esprit, choisissons sagement car les seules choses qui ont une vraie valeur pour nous sont celles qu’on ne peut pas posséder. Mieux encore, la seule chose que nous possédons vraiment c’est le pouvoir de choisir auquel de ces deux mondes nous voulons appartenir, celui de la matière ou celui de l’esprit, parce que, une fois choisi, c’est celui-là qui nous possédera.

La liberté absolue, celle qui constitue le sommet de la création, est à nous quand nous choisissons l’esprit (l’amour et la générosité) plutôt que la matière (la biologie égoïste). En conséquence, la création est incomplète et demeure à l’état embryonnaire tant que nous refusons de couper nos liens avec nos instincts les plus bas par un oui plein et entier à l’Esprit. Jusqu’alors, la création sera aussi incomplète qu’une demeure conçue pour un couple amoureux, mais inachevée et froide, abandonnée et sans but en raison de leur séparation avant de s’y établir. L’intention de toute la création, son apogée, semble être liée à notre acceptation de l’amour de Dieu, laquelle se manifeste dans notre amour les uns pour les autres. Cette réciprocité compléterait ainsi le cycle d’amour jusqu’à Dieu par le retour de l’univers à  sa source, son Créateur, par l’entremise de l’humanité.

Notre contribution à l’achèvement de la création de Dieu ne peut pas, bien sûr, nous être imposée. Il s’agit d’une invitation qui nous est faite. Et la création demeurera inachevée pour nous tant que nous n’aurons pas atteint la seule vraie liberté possible, celle qui nous vient de Dieu, celle qui devient nôtre au moment de notre oui inconditionnel à Dieu. Refuser de le faire correspondrait à se priver de l’essentiel puisque la création, c’est-à-dire l’univers et tout ce qui est, n’a de sens que par l’accomplissement de notre plein potentiel spirituel. Mais pour atteindre ce « potentiel spirituel » il nous faut d’abord passer, de notre biologie égocentrique, au stade où nous verrons tout et tous en Dieu, et Dieu en tout et tous, au stade où nous aimerons Dieu d’un amour réciproque, et où nous nous donnerons comme lui se donne.

Une spiritualité fondée seulement sur notre expérience du monde purement matériel serait, à mon avis, semblable à vouloir accéder à la mer à partir d’un pays enclavé, sans littoral. Autrement dit, il faut voir plus loin que ce que nos cinq sens physiques nous indiquent. À ce stade-ci de notre évolution, nous sommes plus ou moins venus à bout de l’instinct purement animal. Mais nous essayons encore trop souvent, toutefois, de résoudre nos problèmes à partir d’un raisonnement purement bestial, c’est-à-dire par la simple pensée dialectique, par la rationalité, et pas suffisamment par la bienveillance les uns envers les autres, ce qui nous ramène à ce mot de Moustaki, cité plus haut : « L’animal fut une aide, l’animal est l’entrave. » Faire place au cœur et mettre en pratique le message du Christ projetterait dans nos âmes la lumière de Dieu, nous guérirait de nous-mêmes, individuellement et donc socialement, et accélérerait du même coup notre évolution, qui semble immobilisée en première vitesse.

Au lieu de simplement compter les pépins contenus dans l’immense pomme universelle, nous devrions plutôt essayer d’évaluer combien de pommes peut produire chaque pépin; en d’autres mots, essayer de mieux comprendre chacun notre rôle (nous, les pépins) dans la réalisation du potentiel de l’univers. Que pourrions-nous devenir, quel accomplissement serait nôtre si on essayait vraiment de dépasser notre biologie purement réactive? Cela changerait toute perspective et porterait à une évolution intérieure : si nous remplacions nos instincts de possession par un esprit de générosité, la poussière d’étoile que nous sommes prendrait alors son essor en contact avec sa source ultime, qui est Esprit. Son potentiel s’actualiserait, et tout ce qui était contraint par la biologie pure se verrait libéré dans un dynamisme de liberté. Et dans ce processus, l’univers ferait un pas de plus dans sa marche vers son but spirituel ultime. Il s’agit pourtant de si peu que de mettre en pratique le message de Dieu selon lequel l’amour est la voie, la seule voie, comme l’ont fait les personnages cités.

En ce sens, la création, comme toute autre histoire d’amour, était, dès le début et pour toujours, une entreprise risquée pour Dieu. C’est toujours un risque considérable pour lui parce qu’il a assujetti le succès final, le couronnement de sa création, à notre propre bonne volonté, impliquant par le fait même une garantie de sa souffrance en cours de route, comme l’illustre notre monde actuel, défiguré et mutilé comme on le voit aux actualités de chaque soir. Cela en dit également très long : Dieu a mis sa confiance dans l’humanité. Mais comme il est omniscient et qu’il connaît l’avenir, son engagement dans la création nous permet d’espérer dans un monde meilleur pour nos descendants, aussi lointain soit-il.

Dieu, dans toute cette aventure, demeure présent à nous à travers toutes les épreuves : dans la maladie et l’agonie, dans les chambres d’hôpital et les cellules de prison comme dans les zones de guerre, dans l’affliction, l’angoisse et le désespoir. Il ne nous a jamais abandonnés, ni cessé de se donner à nous. Il est tout docile entre nos mains : nous pouvons faire de lui ce que nous voulons. D’où la croix.

L’amour, par définition, est vulnérable. Mais cette vulnérabilité de l’Amour qu’est Dieu, n’est-elle pas la marque de sa noblesse? La fragilité délibérée est toute autre chose que de la faiblesse. Il nous a révélé ainsi sa dépendance de notre bonne volonté; c’est à nous maintenant de le sauver de nous. Seul un Dieu qui se soucie de nous aurait agi ainsi.


Éloges pour La science a-t-elle tué Dieu ?

Prix du « Meilleur livre en Asie pour l’année 2020 en théologie »

Cinq étoiles!
Aucoin touche le cœur et l’esprit de ses lecteurs. Ravive la lumière de notre foi. Ce n’est nullement un tome ennuyeux.
Readers’ Favorite Reviews, É.-U.
Un des meilleurs livres que j’ai lus de toute ma vie, et j’en ai lu une multitude.
J’y ai découvert beaucoup de choses, y compris l’harmonie et la symétrie entre la science et la foi. Toute personne qui, en son esprit et son cœur, recherche la vérité, toute la vérité et rien que la vérité la trouvera dans ce livre.
Guy A. Richard
Juge en chef de la Cour suprême du Nouveau-Brunswick et Vice-Président du Conseil canadien de la magistrature (retraité); Membre de l'Ordre du Nouveau-Brunswick
Exceptionnel… remarquable… un travail colossal…
Une perspective originale, sincère, inspirante et très à propos. Je recommande fortement ce livre.
Mgr Valéry Vienneau
Archevêque de Moncton, Canada
Un livre saisissant, impressionnant, intelligent et si magnifiquement lisible.
Une perspective originale… un travail lucide et une très bonne lecture.
Joseph Z. Daigle, CM
Juge en chef du Nouveau-Brunswick, Canada (retraité); Membre de l'Ordre du Canada pour réalisations exceptionnelles
Un livre lisible, engageant et rassurant.
M. Aucoin rappelle à ses lecteurs certaines des valeurs profondes de l’humanité et encourage ceux qui craignent que la foi ne puisse être qu’une foi aveugle.
William Sweet, Ph. D. (philosophie) et Ph. D. (science politique)
Président de l’Union mondiale des sociétés catholiques de philosophie; Président de la Société théologique canadienne; Président de l’Association canadienne de philosophie; Directeur du Centre de philosophie et de théologie, St. Francis Xavier University; Nombreux titres, distinctions et prix internationaux
La partie 1 est un excellent résumé de l’état actuel de la cosmologie moderne
Des références bien documentées aux limites de la recherche scientifique actuelle.
Grant Mathews, Ph. D.
Directeur, Center for Astrophysics, Notre Dame University, Indiana, É.-U.; Auteur de 16 livres en astrophysique et cosmologie; Récipiendaire du prix Outstanding Scientific Publication Award in Physics; Recherchiste, et professeur / conférencier invité à plusieurs universités
Excellente présentation des lois de l'univers montrant là où la science « se termine » pour ensuite parler de l'existence de Dieu.
Carl P. Adams, Ph. D. (physique)
Chef du Département de physique, St. Francis Xavier University; Titulaire de maintes distinctions et contributeur à de nombreux articles arbitrés en physique
Irrésistible... je l’ai lu tout d’un trait.
P. Edmour Babineau, Ph. D. (sciences religieuses)
Conseiller théologique au diocèse de Moncton, Canada; Chef du Département des études religieuses et de théologie, Université de Moncton (retraité)
Révélateur … j’étais stupéfaite… un style d’écriture agréable.
Sr Lorraine Caza, Ph. D. (théologie)
Doyenne de la Faculté de théologie du Collège universitaire dominicain de philosophie et de théologie d'Ottawa (retraitée); Auteure primée; Supérieure générale mondiale, Congrégation des Sœurs de Notre-Dame (retraitée); Conseillère à la Conférence nationale des évêques de la Commission théologique du Canada
J’ai été captivé par la qualité de ce livre... arguments convaincants... clarté intellectuelle… rafraîchissant.
P. Daniel Deveau, M.A.
Anciennement Supérieur du district acadien des Pères Sainte-Croix et Secrétaire général de l’Assemblée des évêques catholiques du Canada atlantique; Professeur de traduction, Université de Moncton (retraité)
Invitant, sincère, crédible et profondément fascinant.
Sr Odette Leger
Supérieure générale des Sœurs du Sacré-Cœur en Atlantique (retraitée)
Un auteur particulièrement doué…
Il capte l'intérêt du lecteur... un contenu fascinant... un voyage spirituel évocateur. Une voix unique et nécessaire dans le monde littéraire actuel... clarté, sincérité et perspective... il écrit avec autorité.
Cindy Lambert
Stratégiste de l'édition, Summersault Group; Anciennement Vice-présidente et Éditrice associée, Zondervan Publishers, et Rédactrice en chef chez Howard Books, Simon and Schuster

La science a-t-elle tué Dieu? Non, selon l'auteur acadien Eugène Aucoin.

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À propos de l'auteur

En raison de sa grande expérience dans le développement du potentiel humain en tant que praticien et éducateur auprès de milliers de personnes, à la fois aux niveaux universitaire et public, Eugène Aucoin, qui a aussi une formation de diacre, été invité à prononcer de nombreux discours à travers le monde sur des sujets profonds qu’il a appliqués à son livre sur la foi chrétienne.    Ses connaissances, ainsi que son enthousiasme pour la science et son propre cheminement vers Dieu, lui ont permis d’écrire avec autorité, appuyé par d’éminents théologiens, scientifiques et autres, pour ainsi guider les lecteurs dans leur propre cheminement vers Dieu en s’appuyant sur les branches clés du raisonnement humain. La vaste expérience de l’auteur et ses compétences pédagogiques reconnues donnent à son livre cœur et perspective tout en étant source d’une profonde foi chrétienne.
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